Les courbes si fines
d’une peau si belle
appellent vers elle
des caresses câlines
Ses yeux éblouis
par la vue sublime
la ramènent à lui
pour l’étreinte ultime
Puis ils se touchent
battent des paupières
effleurent les bouches
tremblent dans leur chair
Pour elle c’est parti
une douce trêve
un peu d’infini
entretient le rêve
Pour lui c’est fini
déjà il se lève
c’était une lubie
une pulsion brève…
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