Pétrifié, il gémit
Au pied de la sentence
Il n’a plus de répit
Son élue est en partance
La porte s’entrouvre
Et laisse entrer les enfants
Le désespoir les couvre
De son voile oppressant
Il veut combler l’abysse
Demeurer auprès d’elle
Dans son oreille il glisse
Une promesse éternelle…
C’est tellement réel, c’est tellement précis
On dirai du vecu
La vie est si belle, ce n’est qu’un croqui
Faut il rester vaincu ? (SW)
c’est du vécu « indirect », mais qui me touche beaucoup…j’espère encore que les choses s’arrangeront…et que la femme en question vaincra…d’une façon ou d’une autre…