Quatre planches séparent
Cet homme des hommes
Sa carcasse austère
Est séparée de son terroir
Gesticulant sans cesse
Ses idées l’assomment
Se perdant dans la messe
De l’aurevoir
Ses os tournent en rond
Et se confondent
Son faciès et ses talons
Se morfondent
Un silence accablant
Monte la voix
Et peine le bon temps
D’autrefois
Ses sentiments anciens
S’évaporent
S’estompent dans le rien
De l’immense décor
Son âme largue les amarres
Plus rien ne l’attache
Aux débris qui s’arrachent
De sa propre histoire...
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