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Renaissance

Emportées par les tribulations, les pensées humaines s’épuisent, au point de flirter avec le néant.

Fort heureusement, elles finissent leur course dans les bras de l’amour qui les sauve d’elles-mêmes.

Comment se fait-il que l’amour surgisse en toute occasion et sauve de l’anéantissement une pensée fragilisée par l’absurdité de l’absurde ?

C’est que l’amour était, est, et il vient, tandis que la pensée pensante est passagère…

Published inCHALCEDOINE

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