Emportées par les tribulations, les pensées humaines s’épuisent, au point de flirter avec le néant.
Fort heureusement, elles finissent leur course dans les bras de l’amour qui les sauve d’elles-mêmes.
Comment se fait-il que l’amour surgisse en toute occasion et sauve de l’anéantissement une pensée fragilisée par l’absurdité de l’absurde ?
C’est que l’amour était, est, et il vient, tandis que la pensée pensante est passagère…
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