Quand un politicien véreux s’arroge publiquement le droit de décider ce qu’un juge doit juger sans que rien ni personne ne puisse l’arrêter.
Quand des hommes de foi se mettent à promouvoir la compromission entre des dirigeants corrompus et à admettre une inégalité des citoyens devant les cours de justice, tout cela dans le but déclaré d’œuvrer pour une solution pacifique.
Quand les articles de lois servent à normaliser les anomalies et que les décisions économiques ont pour seule fonction de régulariser les malversations du passé.
Quand les stratégies nationales et internationales sont commandées par les intérêts partisans de sombres personnages qui se remplissent les poches et par les appétits stratégiques de puissances étrangères qui laissent les autochtones dépérir sur le bas-côté.
Quand ceux qui cherchent agressivement à imposer leur solution sont immanquablement la cause du problème et qu’ils ne font qu’aggraver leur cas en voulant absolument appliquer à leurs « égaux en infamie » une légalité qu’ils refusent de s’appliquer à eux-mêmes.
Quand le quotidien du peuple se résume à suivre régulièrement leurs inepties et leurs combines dans les journaux ou à se changer les idées devant leurs clowneries sur les écrans télévisés.
Quand, au nom de la survie, on s’autorise des valeurs telles que le vol, l’escroquerie, la corruption, et que ceux qui refusent de pratiquer ces « vertus » sont considérés comme des faibles ou des idiots.
Quand on est amené à s’arracher à son propre pays pour se prouver que l’on tient aux valeurs qu’il symbolise et qu’on est amené à commettre sacrilège sur sacrilège pour avoir la possibilité d’y subsister.
Quand l’immigré n’y croit plus, qu’il ne se bat plus, qu’il ne lui reste plus qu’à s’estimer heureux de ne pas vivre dans cet enfer tout en se sentant coupable d’avoir délaissé les siens.
Quand, pendant ce temps-là, les jours défilent, que les simples gens crèvent sans broncher, que d’autres se soulèvent par opportunité et que d’autres encore mènent une vie de rêve, en grande pompe, juste à côté.
Quand les gens ne se regardent plus, que leurs regards ne discernent plus l’éthique et l’équité.
Quand ils ne savent plus pleurer leur liberté.
Quand il ou elle a perdu ses repères, quand il ou elle n’arrive plus à réagir, quand ils n’ont plus envie de jouer ou bien rire.
Quand la dureté de l’extérieur a envahi leurs pâturages intimes…
Alors, ils errent comme des automates qui survivent en mode fin du monde, dans une quête effrénée de leur gagne-pain.
Privés de clairvoyance, ils élaborent en boucle des thèses politiques multiples et invraisemblables.
Inopérants, ils calment leur douleur par des parodies sarcastiques ou tuent le temps avec de l’humour noir foncé.
Comme si les propos dégénérés de cette bande de faux frères, qui décident entièrement de leur vie depuis des déccennies, avaient fini par les vaincre, étaient devenus comme une seconde nature, une prophétie autoréalisatrice, presque une libération : « Après moi, le déluge. »
Quand un criminel, de surcroît chef de clan, est défendu par ses adeptes comme un intouchable absolu, uniquement parce qu’il arbore une religion que ni lui ni eux ne pratiquent.
Quand un politicien véreux s’arroge publiquement le droit de décider ce qu’un juge doit juger sans que rien ni personne ne puisse l’arrêter.
Quand des hommes de foi se mettent à promouvoir la compromission entre des dirigeants corrompus et à admettre une inégalité des citoyens devant les cours de justice, tout cela dans le but déclaré d’œuvrer pour une solution pacifique.
Quand les articles de lois servent à normaliser les anomalies et que les décisions économiques ont pour seule fonction de régulariser les malversations du passé.
Quand les stratégies nationales et internationales sont commandées par les intérêts partisans de sombres personnages qui se remplissent les poches et par les appétits stratégiques de puissances étrangères qui laissent les autochtones dépérir sur le bas-côté.
Quand ceux qui cherchent agressivement à imposer leur solution sont immanquablement la cause du problème et qu’ils ne font qu’aggraver leur cas en voulant absolument appliquer à leurs « égaux en infamie » une légalité qu’ils refusent de s’appliquer à eux-mêmes.
Quand le quotidien du peuple se résume à suivre régulièrement leurs inepties et leurs combines dans les journaux ou à se changer les idées devant leurs clowneries sur les écrans télévisés.
Quand, au nom de la survie, on s’autorise des valeurs telles que le vol, l’escroquerie, la corruption, et que ceux qui refusent de pratiquer ces « vertus » sont considérés comme des faibles ou des idiots.
Quand on est amené à s’arracher à son propre pays pour se prouver que l’on tient aux valeurs qu’il symbolise et qu’on est amené à commettre sacrilège sur sacrilège pour avoir la possibilité d’y subsister.
Quand l’immigré n’y croit plus, qu’il ne se bat plus, qu’il ne lui reste plus qu’à s’estimer heureux de ne pas vivre dans cet enfer tout en se sentant coupable d’avoir délaissé les siens.
Quand, pendant ce temps-là, les jours défilent, que les simples gens crèvent sans broncher, que d’autres se soulèvent par opportunité et que d’autres encore mènent une vie de rêve, en grande pompe, juste à côté.
Quand les gens ne se regardent plus, que leurs regards ne discernent plus l’éthique et l’équité.
Quand ils ne savent plus pleurer leur liberté.
Quand il ou elle a perdu ses repères, quand il ou elle n’arrive plus à réagir, quand ils n’ont plus envie de jouer ou bien rire.
Quand la dureté de l’extérieur a envahi leurs pâturages intimes…
Alors, ils errent comme des automates qui survivent en mode fin du monde, dans une quête effrénée de leur gagne-pain.
Privés de clairvoyance, ils élaborent en boucle des thèses politiques multiples et invraisemblables.
Inopérants, ils calment leur douleur par des parodies sarcastiques ou tuent le temps avec de l’humour noir foncé.
Comme si les propos dégénérés de cette bande de faux frères, qui décident entièrement de leur vie depuis des déccennies, avaient fini par les vaincre, étaient devenus comme une seconde nature, une prophétie autoréalisatrice, presque une libération : « Après moi, le déluge. »
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